Après avoir mis le feu à la plaine avec «The Sound Of Da Police», un hymne puissant et précis comme le tir d’un sniper contre l’impunité policière lors du concert Sharing the Spring [Nawaat et Creative Commons – Tunis, CMAM, juillet 2011], les rappeurs d’Armada Bizerta récidivent.
Hier, samedi 17 septembre, le drapeau tunisien a flotté sur les foules polonaise. A peine les premières secondes de The Mouvement entamées et le Crew de Bizerte et voilà le public polonais de l'Obiekt Club pris comme dans un ouragan dans le flow puissant de Malex et Gal3i.
En marge du Show, les rappeurs tunisiens sont également là pour explorer de nouvelles pistes pour le développement culturel tunisien : "Nous sommes là pour collaborer et partager [...] la musique ne doit pas avoir de frontières, c'est ça Creative Commons, les possibilités sont simplement incroyables...", déclare Malex, le flow rider d'Armada Bizerta.
En effet, dans les pays comme le notre où la culture du piratage est quasi-généralisée, et où l'attribution des cartes professionnelles reste tributaire de la bonne volonté du ministère de l'(in)culture, les différentes licences CC permettent d'offrir un cadre légal à cette culture du (pi)partage, tout en désamorçant l'obstacle économique dans l'accès à la musique. Une alternative réelle pour sortir des schémas économiques du dictat de l’indusie du show bizz.
Hier, samedi 17 septembre, le drapeau tunisien a flotté sur les foules polonaise. A peine les premières secondes de The Mouvement entamées et le Crew de Bizerte et voilà le public polonais de l'Obiekt Club pris comme dans un ouragan dans le flow puissant de Malex et Gal3i.
En marge du Show, les rappeurs tunisiens sont également là pour explorer de nouvelles pistes pour le développement culturel tunisien : "Nous sommes là pour collaborer et partager [...] la musique ne doit pas avoir de frontières, c'est ça Creative Commons, les possibilités sont simplement incroyables...", déclare Malex, le flow rider d'Armada Bizerta.
En effet, dans les pays comme le notre où la culture du piratage est quasi-généralisée, et où l'attribution des cartes professionnelles reste tributaire de la bonne volonté du ministère de l'(in)culture, les différentes licences CC permettent d'offrir un cadre légal à cette culture du (pi)partage, tout en désamorçant l'obstacle économique dans l'accès à la musique. Une alternative réelle pour sortir des schémas économiques du dictat de l’indusie du show bizz.
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