Nous sommes tous promis à la mort, et entre l’extrait de naissance et l’acte de Décès, nous avons un temps inconnu pour agir.
La plus part d’entre-nous passent leur vie à longer les murs sans jamais regarder le mal en face et le défier, ils privilégeront la sécurité et le confort de la survie sans jamais parier sur la liberté comme cette génération complice à qui nous devons le système ben ali (toujours en minuscules).
Mais toutes les générations complices et les générations passées, sans exception ont eu leurs francs tireurs, toujours en première ligne défendant un idéal bien plus grand que la vie...Hannibal... El Kahena... Jugurtha... Ben Ghdehom... Abu el Kacem Chebbi... Farhat Hached...
Pour ma génération, ce franc tireur était connu comme le Bad Boy de Ben Arous, Ezzou, Ettounsi de TuneZine, ou encore officiellement, Zouhair Yahyaoui.
Je pourrai vous parler de celui qui a inspiré toute une génération de cyber-activistes, mais nul besoin, la magie d’Internet vous permettra de remonter le temps et de relire les 144 numéros de Tunezine en un click. Faire connaissance avec Ezzou, vous révolter et rire un million de fois en le lisant et peut-être vous rendre compte que le 13 mars 2005, quelques part en Tunisie, nous sommes tous mort.
Maintenant, il nous faudra revivre libre, si ce n’est pas pour nous mêmes, ça sera pour lui....
Et il n'y a jamais d'adieu, il n'y a que des retrouvailles...à Zouhair et à tous les francs tireurs de notre génération :
Samir ben Gharbia, Kacem (et ses républiques), Riadh Guerfali (Astrubal), Ramzi Bettaieb (Winston Smith), Taieb Moalla, Hasni (Réveil Tunisien), Skander ben Hamda (BulletSkan), Sofien bel Haj (Hamadi Kaloutcha), Houeida Anouar (Antekrista), Malek Khadraoui, Centriste, Azyz Amami, Haythem el Mekki (Bylasko), Houcem Hajlaoui et tous les autres..et ce n'est pas la fin...
"Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement." Winston Churchill
La plus part d’entre-nous passent leur vie à longer les murs sans jamais regarder le mal en face et le défier, ils privilégeront la sécurité et le confort de la survie sans jamais parier sur la liberté comme cette génération complice à qui nous devons le système ben ali (toujours en minuscules).
Mais toutes les générations complices et les générations passées, sans exception ont eu leurs francs tireurs, toujours en première ligne défendant un idéal bien plus grand que la vie...Hannibal... El Kahena... Jugurtha... Ben Ghdehom... Abu el Kacem Chebbi... Farhat Hached...
Pour ma génération, ce franc tireur était connu comme le Bad Boy de Ben Arous, Ezzou, Ettounsi de TuneZine, ou encore officiellement, Zouhair Yahyaoui.
Je pourrai vous parler de celui qui a inspiré toute une génération de cyber-activistes, mais nul besoin, la magie d’Internet vous permettra de remonter le temps et de relire les 144 numéros de Tunezine en un click. Faire connaissance avec Ezzou, vous révolter et rire un million de fois en le lisant et peut-être vous rendre compte que le 13 mars 2005, quelques part en Tunisie, nous sommes tous mort.
Dessins de Zouhair Yahyaoui |
Maintenant, il nous faudra revivre libre, si ce n’est pas pour nous mêmes, ça sera pour lui....
Et il n'y a jamais d'adieu, il n'y a que des retrouvailles...à Zouhair et à tous les francs tireurs de notre génération :
Samir ben Gharbia, Kacem (et ses républiques), Riadh Guerfali (Astrubal), Ramzi Bettaieb (Winston Smith), Taieb Moalla, Hasni (Réveil Tunisien), Skander ben Hamda (BulletSkan), Sofien bel Haj (Hamadi Kaloutcha), Houeida Anouar (Antekrista), Malek Khadraoui, Centriste, Azyz Amami, Haythem el Mekki (Bylasko), Houcem Hajlaoui et tous les autres..et ce n'est pas la fin...
"Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement." Winston Churchill
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